Comment faire constater des malfaçons immobilières dans le département du Var ?
Diagnostic immobilier dans le Var : les démarches en cas de malfaçons
Lors de la réception d’un chantier de construction ou de rénovation dans le département du Var ou ailleurs, il est possible de percevoir des imperfections sur l’ouvrage. Ces défauts de construction nuisent à l’esthétique de l’ouvrage, mais aussi au confort des futurs occupants.
Afin d’obtenir une indemnisation pour compenser les dépenses liées à la réparation des erreurs de construction, il est recommandé d’entamer des démarches administratives à l’encontre du constructeur après un diagnostic technique.Notons que le constat de malfaçon doit être confié à un expert en bâtiment comme G.D.C. Expertise.
Cette entreprise propose des services de constat de malfaçons de qualité dans le Var. Notre équipe se déplacera jusqu’au site pour une observation avant de rédiger un rapport qui décrit les détails des imperfections constatées sur l’ouvrage. Vous pourrez par la suite utiliser ce document pour prouver les erreurs commises par l’artisan lors des travaux de construction.
Constat de malfaçon dans le Var : A quel moment le faire ?
Afin d’apporter une preuve concrète de l’existence de malfaçons sur un ouvrage dans le Var (ou ailleurs), l’intervention d’un expert en bâtiment est indispensable. En effet, un diagnostic immobilier s’impose pour déterminer les failles pouvant affecter la construction.
Le constat de malfaçons immobilières est recommandé lors de la visite de réception du chantier ou avant l’achat d’un bâtiment. Les malfaçons apparentes sont faciles à détecter lors de la visite de réception des travaux.Il convient de les mentionner dans le procès-verbal signé.
Quant aux malfaçons cachées, elles ne sont visibles que quelques mois, voire quelques années suivant la réception des travaux. Cette intervention est utile pour éviter les litiges ou les contestations en cas de recours en justice. Elle permet d’obtenir réparation sur les vices constatés sur l’ouvrage. Vous avez jusqu’à 10 ans après l’achèvement des travaux pour constater des malfaçons.